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POURQUOI PLANÈTE BLEUE?

Planète bleue entend mettre l’accent sur la défense de l’environnement, la lutte contre le réchauffement climatique, le combat pour la biodiversité, la préservation de l’eau, de la terre et de l’air. Dans ce but, il souhaite favoriser la transition vers une économie moins axée sur la croissance à tout prix et lutter en faveur d’une agriculture, d’une industrie et de services plus locaux et moins gourmands en importations polluantes.
Planète bleue souhaite également mieux répartir les richesses et améliorer les conditions de production dans les pays du sud, ne serait-ce que pour limiter les effets des migrations qui sont toujours sources de détresse sociale.
Face aux tensions croissantes qui agitent notre monde, Planète bleue milite également en faveur d’un Conseil fédéral qui gouverne au lieu de gérer, et qui soit beaucoup plus actif, non seulement en matière de préservation de la nature, mais aussi en matière de sécurité, de santé et de protection de la population, et qui soit porteur d’initiatives en faveur d’une meilleure prise en considération du droit et de la justice dans les relations internationales.

PROGRAMME

  1. Maîtriser une croissance devenue folle et favoriser la transition vers une économie douce, notamment en matière de trafic aérien et de transports.
  2. Préserver le climat et la biodiversité.
  3. Respecter les animaux et manger plus sain.
  4. Aider les migrants mais pas les migrations.
  5. Taxer les transactions financières et les robots plutôt que le travail.
  6. Assurer une santé abordable et équitable pour tous.
  1. Défendre une Suisse démocratique dans une Europe fédérale et souveraine.
  2. Un Conseil fédéral et un Parlement indépendants.
  3. Une société équilibrée, fière de ses racines et confiante dans l’avenir.
  4. Considérer la nature et le patrimoine culturel comme des biens communs.
  5. Dépénaliser et réguler la consommation de drogue.
  6. Garantir une formation et un emploi décents aux jeunes et une retraite à la carte aux plus âgés.

QUI SUIS-JE?

flyer_photo Guy Mettan, journaliste et député indépendant, est établi à Genève depuis 1975.
Pendant ses études en relations internationales, sciences politiques et sociologie à l’Université de Genève de 1975 à 1979, Guy Mettan fonde et dirige le journal étudiant Courants. En 1980, il est engagé à la rubrique internationale du Journal de Genève.
En 1983, après un voyage de 6 mois en Amérique latine où il a notamment descendu le cours de l’Amazone du Pérou au Brésil, il devient secrétaire général de la revue le Temps stratégique. En 1989, il co-fondé le magazine économique Bilan et en 1991 le journal Le Nouveau Quotidien. De 1992 à 1998, il est directeur-rédacteur en chef de la Tribune de Genève. Depuis lors, il dirige le Club suisse de la presse dont il fut le premier président de 1994 à 2000.

Elu au Conseil municipal de la Ville de Genève en 1999, il devient député au Grand Conseil du canton de Genève en 2001. Il en a été le président en 2010.
Président de la Croix-Rouge genevoise de 2006 à 2014, puis membre du Conseil de la Croix- Rouge suisse jusqu’à ce jour, Guy Mettan préside également la Chambre de commerce Suisse-Russie depuis 2005.
Auteur de nombreux livres (dont « Genève ville de paix » et « Genève ou le besoin de grandir », il a co-publié en avec Christophe Büchi, alors correspondant de la NZZ en Suisse romande, un “Dictionnaire impertinent de la Suisse”; constamment réédité et vendu à 11 000 exemplaires. Une troisième édition doit paraitre en octobre 2019. Récemment, il a publié un livre sur la russophobie en Occident (“Russie-Occident: une guerre de mille ans”;) et traduit en russe, italien, serbe, suédois, anglais et chinois, ainsi qu’un livre sur le destin de l’Europe, “Le continent perdu”; en mai 2019.
Sur le plan politique, il a notamment exercé les fonctions de chef du groupe PDC au conseil municipal de la Ville de Genève et été candidat au Conseil administratif en 2003.
Comme député, il a présidé de nombreuses commissions (finances, travaux, enseignement, droits de l’Homme, pétitions). Il a notamment joué un rôle crucial dans l’établissement du frein au déficit qui assure une gestion rigoureuse des dépenses publiques depuis 2006 et s’est engagé en faveur de la construction du Léman Express, comme député et comme président de l’Association lémanique pour la promotion du rail, et qui doit mettre fin bientôt aux nuisances du trafic automobile transfrontalier. A l’enseignement, il a notamment accompagné la refonte de la loi sur l’Université et la loi créant les hautes écoles spécialisées. Il a aussi milité pour la reconstruction souterraine de la gare Cornavin et de la préservation du quartier des Pâquis et est à l’origine de la rénovation du bâtiment de l’Hôtel de Ville actuellement en cours.